Contributeurice

Guinamand, Sophie

guinamand-sophie
Sophie Guinamand est candidate à la maîtrise en science politique avec la concentration en études féministes. Détentrice d’une maîtrise en histoire de l’Institut des Hautes Études d’Amérique Latine (IHEAL, Paris) et d’un certificat en études féministes de l’UQAM, Sophie s’intéresse aux mobilisations féministes en Amérique latine. Son mémoire porte sur la performance intitulée Un violeur sur ton chemin du collectif féministe Chilien LASTESIS qui dénonce la responsabilité de l’État dans les violences faites aux femmes. Sophie est membre de l’IREF (Institut de Recherche et d’Études Féministes) ainsi que de l’ÉRIGAL (Équipe de Recherche sur l’Inclusion et la Gouvernance en Amérique latine). Parallèlement à l’élaboration de son mémoire, Sophie est assistante de recherche à l’IREF sur l’élaboration du projet BiblioFEM.
Dans les médias

Une tournée féministe dans les cégeps, Sophie-Anne Morency, Maxime Fecteau, Amaia Nerea Aizpuru Arrillaga, Sona Pogossian, Fallon Rouillier, Amélie Fontaine-Dupont, Sophie Guinamand, Vickie Grondin et Mathilde Thomas, Actualités.uqam.ca, 10 octobre 2024.

Une tournée féministe dans les cégeps, Actualités.uqam.ca

Morency, Sophie-Anne, Fecteau, Maxime, Aizpuru Arrillaga, Amaia Nerea, Pogossian, Sona, Rouillier, Fallon, Fontaine-Dupont, Amélie, Guinamand, Sophie, Grondin, Vickie et Thomas, Mathilde

La voix de la femme, éditoriaux 

Note sur la traduction :

Considéré comme le premier journal anarcha-féministe d’Amérique du Sud, La Voz de la Mujer paraît à Buenos Aires en 1896-1897: il s’agit d’une publication semi-clandestine en raison du plaidoyer pour l’action directe qu’elle contient. Les rédactrices y critiquent de manière véhémente la religion, la société capitaliste et les inégalités entre hommes et femmes, d’où la devise « Ni dieu, ni patron, ni mari ». Nous reproduisons ici les éditoriaux des numéros 1, 2, 3, 4, 5 et 7 – le numéro 6 n’étant plus accessible.

Bolten, Virginia, Gherra, Pepita, Carballo, Lula, Guinamand, Sophie, Torres Merino, Lilian Vianey et Gibeau, Ariane

Les tâches ménagères, extrait 

Note sur la traduction :

Sœur Juana Inés de la Cruz (1651-1695) est une religieuse catholique mexicaine. Poète et dramaturge, elle est aussi compositrice et mathématicienne et est aujourd’hui célébrée comme l’une des premières féministes des Amériques. Elle défend toute sa vie le droit à l’éducation et l’intelligence des femmes, osant même enseigner des textes écrits par des femmes à ses étudiantes. En 1683, elle publie la pièce Los empeños de una casa, une comédie de situation se déroulant chez la bourgeoise de Tolède, une ville d’Espagne. Dans la scène que nous avons choisi de traduire, le serviteur Castaño raconte sa transformation d’homme en femme, décrivant les artifices employés pour le rendre enfin, à la fin de la scène, belle et désirable.

de la Cruz, Sor Juana Inés, Carballo, Lula, Guinamand, Sophie et Torres Merino, Lilian Vianey